par CAFRICAIN » Ven 19 Fév 2021, 23:37
Ultime lettre ouverte, d’adieu et de bilan, au "président de mer-de"
Monsieur le président,
Je te refile un cocasse " Monsieur le président" juste par charité et par un soupçon de respect au carré d’adhérents qui, à travers un processus électoral tordu, t’a bombardé à la tête de notre club, au grand dam des puristes inconditionnels clubistes. Je te dis " Monsieur le président" par parodie parce que tu n’es ni le grand monsieur dont je pourrais encenser l’étoffe ou le talent, ni l’émérite président auquel je suis en mesure de me reconnaitre ou de m’identifier. Tu ne mérites ni l’un ni l’autre.
Te vouvoyer ? Ce serait ridicule. L’idée de vouvoyer un homme fruste, fantasque et menteur comme toi, quand bien même tu veilles à la destinée de la "Ghalia", aurait été de mauvais goût, de mauvaise foi de ma part, tant j’abhorre ton image, ton discours et ta trajectoire à la présidence. Une telle entrée en matière aurait donc fait désordre tant tu nous as, nous autres clubistes, horripilés au plus haut point. Tu pètes tellement par la bouche et tu réfléchis tout autant par l’arrière-train que la moindre de tes paroles a des relents nauséabonds. Tes mots bactériens, tels des crachats, ne sont rien qu’un ramassis de microbes. Je me dois de t’avouer que je ne peux penser à toi que derrière un écran pétri de mépris, de dégoût et de nausée. On ne s’adresse à un "président de [*mot censuré*]" de ton genre qu’avec des mots excrémentiels, et encore !
Ce n’est pas un sac que je vide mais une grande poubelle bandée des détritus de tes méninges, de tes infects plans et des immondices de tes déjections cérébrales. Dans la foulée, tes réflexions anales m’offrent l’occasion de te dédier ces quelques fécales rimes. Tu l’auras mérité haut la main. Le trou de c-u-l que tu es n appréciera la verve putride !
Tes propos ont de bien laxatives vertus
Sitôt la constipation est enfin remédiée
T’entendre pérorer est un régal pour l’anus
Bougre ! Tu nous as fait tellement chier
En t’écrivant, ayant à l’esprit ton profil de looser, ringard et ignare, j’ai appuyé si lourdement sur les touches de mon clavier, avec autant de force que de violence, que j’imagine qu’une onde de douleur t’a traversé la cervelle, si jamais tu en as une, et le corps, si le tien est encore sensible à n’importe quelle onde de choc. Tu m’étonnes vieux ! Encore que nous autres clubistes, de tout bord, nous avons bien pris le pli de tes surprises de charlatan. Tu as changé autant de positions que de chaussettes que, depuis belle lurette, que u n’as plus de crédit que dans ton téléphone. Idiot du village ? Que nenni, idiot du Parc A, surement.
Comme tes maitres patentés, on t’a dégagé, telle une vermine. Tu n’as pas pris illico et en catimini l’avion pour fuir, tu en es incapable puis que tu es interdit de voyage sans compter que la justice nationale t’a épinglé et t’a interpellé. Aucunement revanchard, je me refuse de l’être face un bon à rien, un vaurien, un homme aussi minuscule que toi, je réserve ma vengeance à celui qui me vaut, à celui qui m’égale, pas à une loque humaine ambulante. Ce serait trop facile et certainement moins digne. Inutile de tirer sur l’ambulance ou de s’acharner sur un cadavre.
A la limite, tu n’es pas, en tant que personne, mon problème, c’est ton titre de président de mon club, heureusement chassé comme une mouche récemment, qui m’indispose et me répugne. Le club, auquel je voue un attachement viscéral et existentiel, a subi ta myopie, ton aveuglement et ta surdité, et a fini au bas-côté de son histoire et a sombré dans le trou noir, à un cheveu de la mort subite.
Je refuse que le temple Club Africain soit mutilé dans son identité, soit menacé dans sa pérennité et soit l’otage des uns ou le fonds de commerce des autres. Le Club Africain est une richesse nationale, un patrimoine tunisien qu’il importe de valoriser et non de gâcher, au mépris de son histoire, de son parcours et de son avenir. Tu as dilapidé un grand capital par incompétence. Tu as plus de cervelle dans le derche que sous le crâne. Tu as tout gaspillé au gré de tes humeurs, de tes frasques et de tes lubies. Qui en a profité, tout compte fait et en dernière analyse ?! Tu n’as jamais compris que l’avenir du club est une ligne rouge !
Tu es venu par bourrage d’urnes. Un concours d’élections ? Mon œil ! Plutôt un concours de circonstances. Tu ne t’es pas infiltré au Parc A par l’entrée principale mais par la cour de derrière. Personne n’en est dupe, tout le monde a vu dans ton jeu ! Le club n’a été qu’un cheval de bataille, un fer de lance, un moyen et non une fin en soi ! Pour être juste et objectif, je reconnais que tu as pris le club dans un moment grave. Les dettes toujours impayées, des sabres sur notre cou, n’ont cessé de rivaliser avec les échecs sportifs. Sauf que tu en étais conscient, personne ne t’a marché sur le pied pour briguer le mandat. Tu as dit que tu ne pouvais laisser le club chavirer au creux de la vague, en face de vent adverse et de mer en tornade, sauf que tu n’as pas la stature d’un solide timonier, tout juste un piètre matelot avec un amas une vieille savate en guise de cerveau.
Trente mois plus tard, le constat est amer, voire même traumatisant. Une vertigineuse descente aux enfers, le club est devenu brusquement dans l’œil de tous les cyclones. Pourquoi ? Une dérive d’autodestruction que nul ne justifie. Après ta sombre période, tu laisses le club tout aussi moribond, pas même bord du gouffre mais plein dedans. La chute a été à la mesure des perspectives annoncées, assourdissante, fracassante et surtout douloureuse et factices. De mémoire clubiste, jamais le club n’est descendu aussi bas. Tant de serments pour de si mièvres résultats. Tu sors aujourd’hui non par la grande porte, dans la dignité et le respect, mais par la petite porte sinon par la serrure rouillée de la porte.
Jamais une Assemblée Générale, comme celle de Juin 2018, n’ait été aussi infestée de tricherie. Des pratiques grossières et irrégulières. Un grand point noir dans notre histoire et notre mémoire de puristes. En connaissance de cause, tu as arraché les rênes d’un club au bord de la faillite. Tu quittes maintenant le Parc A, évincé par la peau des fesses, comme un malpropre, fauché de ton piédestal, en laissant le grand Club Africain au bord de l’implosion, de la disparition. Bravo ! L’ennemi juré n’aurait pas fait mieux.
Tu as géré notre grand club comme un petit épicier sur des coups de tête ou des conseils de ton noyau d’hommes de main, piètres et non moins médiocres personnages. Tous à ton profil. D’où réactions d’indiscipline, de rébellion, de pression. Le vestiaire n’a de cesse de partir en vrille, les grèves de se multiplier ainsi que les recours à la justice sportive nationale ou internationale où le club a laissé plus que des plumes. L’image du club s’en était trouvée dégradée, laminée au plus bas. Tu n’en as rien à cirer ! Par vos grossières fautes, ton Super Rambo (SR) et toi, à la FIFA, dès qu’on entend parler du Club Africain, on sort le revolver. Même à la FTF, chasse gardée et héritage familiale de WJ, notre sacrée "Ghalia" n’est plus en odeur de sainteté, traitée depuis comme une serviette de chiottes. Merci et bravo à vous !
Comme toi, “La fierté et la bêtise sont faites du même bois”, comme disait un vieux dicton allemand. Je m’empresse de toucher du bois, de crainte de ton bois vert ! Evidemment, le bois est ton meilleur allié. Aucun doute, avec ta langue de bois, ta gueule de bois, tes chevaux en bois, tes jambes en bois et tes chèques en bois, tu aurais raté une grande carrière de menuisier de talent. Au passage, tu aurais pu réparer les portes pourries au Parc A. C’est connu, le feu de bois donne plus de fumée que de chaleur. Et toi, tu es rompu à l’art de brasser de l’air et de péter plus haut que ta croupe. Un vrai acrobate de l’insensé et de l’irrationnel.
Tu es certes clubiste, personne ne t’en conteste l’attachement, mais tu n’as cessé, malheureusement, d’être un cheval de Troie. Tes victoires à la Pyrrhus et tes réflexes de Sisyphe donnent le tempo de ton incapacité à réfléchir, à gérer et à décider. Plus crétin, tu meurs, diraient certains. Bien sûr, tu n’as rien compris ! Désolé de citer des légendes grecques. C’est presque provocateur de ma part. Toi et la légende, ça fait deux, peut-être quatre, sinon dix, voire même cent. En tout cas, la légende, dans ses obscurs chapitres, te réserve une glorieuse niche, celle de l’homme le plus honnis de ses pairs. Prix citron ? Jamais ! Tu es encore en dessous. Prix acide, au vitriol, et encore !!
De votre projet, si projet il y avait, ce dont je doute fortement, qui n’a pas fait long feu, le peuple clubiste n’a vu que du feu. Sur tous les plans, sportif, administratif, budgétaire et financier, ton bilan est d’un encyclopédique fiasco. Bien sûr, un nul ne ramène que des zéros. Rien à se mettre sous la dent sauf ressasser la colère noire et la peur bleue. Circulez, il n’y a rien à voir ! Tu n’hésites pas à nous farcir les yeux et les oreilles, de ta tronche, sur les plateaux télé ou radio, pour persuader ceux qui veulent te prêter encore une oreille attentive de tes investissements et de tes réussites. Nul doute, des victoires à grand déficit, dont on se sort plus perdant que conquérant. Bien sûr, tu ne comprends guère que la réussite sourit toujours aux audacieux, excepté que toi tu n’as jamais fait preuve de cran ou de bravoure. Toujours tapi dans le cachot de ton silence, dans le bagne de ton abandon, la déroute en surcroît.
Entêté, capricieux et inculte, surtout inculte, tu as géré le club à ton image. Image insondable, egocentrique et tapageuse. Tu n’entends que ta voix interne, tu ne consultes que tes mauvais génies, tes sbires tristement célèbres, lâchant tes vieux démons et tes obscures lubies sur le dos du club. "La chasse aux sorcières" est ton sport favori, tu as élevé la victimisation au rang de stratégie de gestion. A ton funeste avis, "L’enfer c’est les autres", comme disait Jean Paul Sartre dont je ne t’imagine t’assoupir, les fesses calées à ton salon, un de ses livres à tes mains !
Il y a toujours un complot contre toi. Tu considères la moindre et simple critique comme un acte d’agression. Tu ne fais rien dans la dialectique, sans recul intellectuel ni capacité contradictoire, tout est préjugé et obsession. Chez toi, c’est la logique de despote qui prévaut, on est avec toi, sous ta coupe, ou contre toi, la hache de guerre brandie. Partisan ou adversaire, blanc ou noir, toute autre couleur dans l’intervalle écorche ta matière grise, si d’aventure tu en possèdes. Un vrai daltonien ! Tu fais un foin de tous les diables pour des broutilles, comme un enfant gâté et pleurnichard à qui on veut prendre le jouet.
Tu as mis tout le monde à dos, unanimité contre toi. Il faut le faire et tu l’as fait bien et vite. Tu as fait le vide autour de toi. Parc A, là où tu as entendu trôner, en maitre absolu, sans partage et sans contradicteur, entourés de courtisans, plus larbins que collaborateurs. Les autres ? Rien que des esprits chagrins, des aigris, des comploteurs et des chasseurs en eau trouble. Rien qu’un ramassis de vieux conspirateurs ! Toujours la fuite en avant comme plan de communication ! Le peuple clubiste, du moins une frange, n’en a rien vu et n’en verra rien, à jamais. Te voir est déjà en soi une forme de cécité. Il n’y a de pire aveugle que celui qui ne veut rien voir, que celui qui craint d’ouvrir les yeux.
Tel un mentor de pacotille, et jusqu’à la dernière minute, tu as multiplié les acrobaties et les coups bas, au mépris de l’intérêt supérieur de notre club, pour couper la route à tout candidat à la présidence ayant le courage, voire la témérité, de se présenter dans un pareil sulfureux contexte. Et c’est là où le bât blesse, et c’est là où tu n’as épargné aucune combine, aucun artifice, aucun tacle par derrière, pour jouer ta carte. Ta dernière et perfide carte. Tu sais bien que rares sont les personnes capables de te succéder, compte tenu de l’énorme héritage de calamités que vous avez laissé, ton prédécesseur de sinistre mémoire et toi. Tu as joué sur les mots et sur les peurs, tu as agité un épouvantail au lieu de brandir un programme. Un tissu de faux ennemis et de cibles montées de toute pièce pour cacher ta nudité intellectuelle, ta vision opaque et ton indigence managériale.
Par ta désastreuse gestion, sur les décombres de ton devancier, tu as d’une part imposé la chaise vide, et d’autre part, mis tous les atouts dans ta main. Le club est ton otage, à coup de chantage et d’extorsion, conscient à l’avance que personne ne peut ou ne veut payer la rançon pour libérer le club de tes griffes et l’affranchir de tes francs-tireurs. Dans votre dictionnaire, si jamais tu en as un, les mots "critique" et "autocritique" n’existent pas. Tu adores la posture de juge et partie. La science infuse et diffuse, il n’y a de bilan que le tien, il n’y a d’évaluation que la tienne, il n’y a pas de lucidité et de jugeote que dans ton embué esprit. Tu es le détenteur de la vérité, le reste ce n’est que des illuminés, des détracteurs.
Quel tableau de chasse tu peux t’en prévaloir. Au centenaire de notre club, par ton ignorance et ta courte sinon évanescente vue, la "Ghalia" frise la relégation sportive, frôle la banqueroute financière, tutoie la désintégration. Dans son temps de nabab, d’opulence et d’oukase, le prince déchu, Slim Chiboub en a rêvé, toi tu l’as fait. Chapeau bas, grosse [*mot censuré*] ! Dans sa tombe, Azzouz Lasram, et plein d’autres monarques clubistes, se retournent dans leur tombe, fulminant, pestant, criant leur rancune.
Loin de moi l’idée de t’insulter, tu n’es guère au niveau de mes insultes. Trop bas, trop fruste, trop insignifiant pour mériter même mes injures. A quoi servirait d’offenser un olibrius de ton acabit. On ne peut pas décoller intellectuellement avec toi. Ton langage est digne d’un marché aux puces, ceci dit sans mépris aucun à l’égard des férus de ce genre d’endroits. Tu ne respires que dans les égouts de la fraude. Même tes pensées sont en contrebande. Ta conscience, si tu en as, suinte le trafic, avec comme unique alliée la mauvaise foi, l’hypocrisie. Que de promesses en l’air, que d’engagements trahis, que de serments bafoués. Tu es un homme ni d’honneur ni de parole, un homme de paille plutôt. Tu as élevé les farces de mauvais goût au rang de stratégie de gestion et de communication. Honte à toi et à tes larbins !
Lors de tes deux dernières interviews, interviews de la honte, les deux interviews de trop, tu as trop parlé mais tu n’as strictement rien dit, sauf tes sempiternelles invectives et tes arguments à deux sous, souvent usés jusqu’à la corde sinon tirés par les cheveux, voire même les orteils. Preste à tricoter un long tissu de mensonges Rien que des clichés et des poncifs. Label AY. Un véritable disque raillé. Depuis des lustres, coincé dans ta posture de radotage, tu n’as de cesse de scander à vomir ton hideux refrain. Tu te répètes, tu enfonces des portes toutes ouvertes. Tu n’en démords pas. Servir les mêmes salades et les mêmes épices. Un vrai cordon bleu de la redondance, fin gourmet des pléonasmes. Même l’écho de sa voix te dément. Ton langage est digne d’un marché aux puces, d’une foire de braderie, tu parles comme le vieux cordonnier de mon quartier, ceci dit sans aucun mépris pour ce corps de métiers. Le pire président qui n’ait jamais conduit le club. Bien sûr, tu l’as certes conduit mais droit au mur, vers les abysses de la déchéance, de la ruine financière et sportive.
Le nœud de tes problèmes, et en même temps de la descente aux enfers de notre club, ce n’est ni les dettes, ni les impayés ni les débâcles sportives, financières et administratives, le clou de l’affaire est que tu as géré le club comme ta propre officine, que tu as mélangé le fonds propre de notre club à ton portefeuille personnelle, qu’il n’y a aucune ligne de distinction entre la comptabilité de notre club et ta propre caisse noire ou parallèle. Une confusion comptable, une opacité financière. Ton unique et urgent, voire même vital enjeu est de récupérer ton argent et de parvenir à tirer ton épingle de ce budget largement déficitaire de notre club. Tu cherches avant tout à sauver ta tête et non à sauver le club. Tu as multiplié et tu continues à collectionner les mensonges pour gagner le temps nécessaire à ta combine.
Peux-tu oublier le 8-0 de Mazembé, les moins six points décrétés par la FIFA, les interdictions successives de recrutement, le scandaleux match amical contre Hellas Verona qui n’a pas eu lieu mais dont tu as pourtant soufflé impunément les revenus, les démissions en pagaille de ton bureau directeur, la position de presque lanterne rouge, en queue de peloton, la vingtaine de bras cassés, en guise de joueurs, que tu as recrutés.
Dans tes dernières interviews, tu as montré, et démontré, toute l’étendue de ton incompétence, de ton ignorance. A chaque question, tu as botté en touche, tu n’as fait que tacler par derrière. Toujours en hors sujet et en hors-jeu, à contre-courant. Tu aurais été un bon libéro si jamais tu avais l’opportunité de côtoyer le ballon et le rectangle vert.
Je sais que tu n’as rien saisi de ma lettre, ni sur la forme ni sur le fond, j’entends de loin tes pauvres méninges grincer. Ton niveau intellectuel et moral, au caniveau de la médiocrité sinon de la pestilence, rase tellement bas, dans les égouts de l’indécence. Je serais ravi que tu n’en aies rien compris. En fait, je ne m’adresse pas à toi, mais à moi-même et à mes amis clubistes. Tu n’es rien, juste un déchet, jute une pelure qu’on jette au premier dépotoir venu.
Quelles qu’en soient les tournures et les débâcles, je reste convaincu que le temple compte toujours sur les clubistes comme premiers gardiens et derniers remparts. Le club trébuche certes mais il ne s’effondre pas. Tel un roseau fier et solide, il plie mais ne rompt pas. Il a toujours l’orgueil de rebondir et il rebondira, n’en déplaisent aux détracteurs et autres esprits hostiles. Un club, maintenant centenaire, est plus grand que tout. Ce n’est pas un club, c’est plus qu’un club. C’est une histoire, une légende et un cœur qui bat en nous.
CAFRICAIN, PURISTE CLUBISTE INCONDITIONNEL.
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