FEDERATION TUNISIENNE DE FOOTBALL : ACTUALITES & INFOS

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La Presse du 26/02/03

Messagepar Bilou » Mer 26 Fév 2003, 15:07

Football

Consultation nationale

Pour mettre fin à l'équilibre instable

Baliser le chemin en amenant une nouvelle race de gestionnaires pour un sang neuf.


La consultation nationale sur le sport bat son plein. Les réunions, à tous les niveaux, se multiplient un peu partout et les idées fusent. Il y en aura de bonnes comme de moins opérantes au service d'un sport qui avait bien besoin de cette consultation après de longues années de navigation à vue. Certes, le sport tunisien a réussi, en dépit de sa structure hybride, à enregistrer de très bons résultats. Mieux, il a allègrement gravi les échelons au niveau international à la faveur des compétitions continentales ou régionales. On ressentait quand même en présence de réelles potentialités qu'il y avait encore une bonne marge de progression à exploiter pour avancer plus vite.

Le débat débouchera dans moins d'un mois sur des propositions concrètes qui relèveront de faits et d'expériences vécus ou qui traduiront les intimes convictions de personnes sincères ne souhaitant que d'être témoins d'une nouvelle percée des jeunes sur la scène sportive.

Bien sûr, nous relevons ici ou là quelques idées utopiques parce que «trop» progressistes, et d'autres dépassées parce que ne s'adaptant plus au contexte actuel, mais tout est à analyser et à retenir pour la mise en place de la future stratégie des décades à venir.

Affaire de gestion

C'est à ce niveau que se situe la responsabilité de tous ceux qui ont pris la décision de participer à ce débat, qui ne saurait être annuel. Une nouvelle consultation ne pourra être programmée avant longtemps et l'on sera bien forcé de s'en tenir aux décisions qui seront prises pour diriger les affaires sportives durant au moins une décade.

Bien entendu, c'est au niveau du sport-roi que les débats sont les plus ardus. Le football, discipline sportive «à part», accapare l'attention et fausse un tant soit peu les débats par rapport aux autres disciplines dont l'importance n'échappe à personne. L'actualité sportive favorise cette main-mise avec les problèmes quasi quotidiens que vit la majorité des équipes. Cela va des cessations de travail déclenchées pour non-paiement de salaires aux actions intentées en justice et mettant en cause les clubs qui n'arrivent plus à payer leurs dettes.

Remise à jour des comptes

Le «non-amateurisme» instauré à la hâte et qui a pris en flagrant délit la gestion archaïque des clubs, continue à faire des victimes. Le «professionnalisme» que l'on essaie d'instaurer, ce n'est pourtant pas seulement l'argent, c'est aussi une organisation.

Et à ce niveau, bien des choses sont à reprocher aux clubs si fragiles face à la pression de leurs supporters ou aux exigences imposées par la recherche des résultats immédiats.

La dernière décision prise par les hautes autorités en ce qui concerne l'affiliation et le paiement des cotisations à la CNSS est une véritable bouffée d'oxygène. Mais combien de clubs profiteront de ce nouveau délai de grâce pour régulariser leur situation à l'égard de cet organisme qui finira un jour par exiger la remise à jour des comptes. Et si rien n'est fait, et si la FTF ne fait rien pour contrôler la mise en place du système, la tuile retombera sur la tête d'un futur comité directeur qui aura été victime de la négligence de son prédécesseur. Dans le même ordre d'idée, combien de joueurs paient-ils leurs impôts en tant que «salariés» et combien de clubs jouent-ils leur rôle d'employeurs par rapport à la loi en vigueur dans ce domaine bien précis?

Des détails qui ont leur importance, car ils limitent le recours à des salaires mirifiques qui ne collent d'aucune manière à la réalité, déstabilisent les clubs et les propulsent dans une spirale vertigineuse.

Sans garde-fous

Le débat en cours ne servira pas seulement à la mise en place de la future stratégie et de la politique sportive à adopter, mais sera de nature à baliser un chemin aujourd'hui sans garde-fous et encouragera sans doute l'arrivée d'une nouvelle race de gestionnaires tenus à l'écart par la situation qui prévaut, parce que peu enclins à mettre le doigt dans un engrenage infernal. Du sang neuf dont le sport tunisien a grand besoin pour mettre un terme à cet équilibre instable qui bride ses extraordinaires potentialités.

Kamel GHATTAS
La couleur de mon sang est rouge et celle de mon âme est blanche
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Bilou
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Messagepar VIRAGISTE » Lun 03 Mar 2003, 11:05

Consultation nationale sur le sport

Le sport d’élite, un plan en 10 points


Avant d’apporter notre contribution au débat portant sur le sport d’élite, il serait utile
de rappeler les grandes étapes et les acquis de ce secteur durant la période 1994-2002.

Avant 1994, le principe de l’élite n’était pas défini et demeurait encore flou, on considérait encore à l'époque et même dans certains sports aujourd’hui un athlète qui domine la scène nationale mais qui est loin du niveau international comme un sportif d’élite.

Après la promulgation de la nouvelle loi d’organisation et de développement de l’éducation physique et des activités sportives en date du 3/8/1994, on a recommencé à parler avec beaucoup de conviction et on a compris que le sport d’élite c’est avant tout des structures, le suivi, la planification et l’encadrement compétent pour une seule exigence, la performance.

Les articles 37, 38, 39 et 40 de la nouvelle loi ont éclairci la situation du sport d’élite, même si le décret fixant les droits et devoirs du sportif d’élite fait encore défaut.

La loi du 3 août 1994 : le déclic

L’article 37 stipule clairement que «l’Etat est chargé du développement du sport d’élite en collaboration avec les structures sportives et les institutions publiques et privées».

Autre date marquante du développement du sport d’élite dans notre pays, le 10/4/1996 : toute une stratégie nationale de préparation a été mise en place pour préparer les sportifs tunisiens à l’ensemble des échéances internationales programmées de 1996 à 2001 et en particulier les 14es Jeux méditerranéens : Tunis 2001.

Cette stratégie a permis la mise en place des structures nationales sportives pour abriter l’élite dans des centres nationaux de préparation en plus de la relance des activités des sélections régionales. L’expérience des classes «élite et études» a été étendue à tous les gouvernorats de la République. Il y a eu également l’institution des diplômes filière sport à l’ISSEP, l’obligation des staffs techniques d’exercer à plein temps pour l’encadrement des équipes nationales, le ciblage des disciplines et des sportifs pourvoyeurs de médailles; enfin la couverture sociale et le suivi médical de l’élite sont devenus obligatoires.

Le lycée sportif créé pour accueillir et encadrer la jeune élite a été mis sur les rails après avoir longuement dévié de sa principale vocation.

Les CMR 1996 et 1998

Le CMR du 25/11/1998 a mis les bases d’instauration d’un système scolaire destiné aux sportifs et permettant de concilier les exigences des études et celles de l’entraînement sportif et de la compétition tout en instituant une filière spéciale sanctionnée par un baccalauréat sportif.

En octobre 2000 au terme de la participation tunisienne aux JO de Sydney, une commission nationale de suivi de la préparation des athlètes a été créée spécialement pour les JM 2001 alors que la loi du 3/08/1994 stipulait déjà cela.

Aujourd’hui, le CNSE est plus étoffé avec des experts du suivi scientifique et de l’étude des programmes de préparation des équipes nationales; en plus des unités du suivi psychologique et des résultats techniques, le CNSE assure également le suivi des entraînements et la scolarité des sportifs d’élite avec le concours d’un staff d’inspecteurs

La stratégie future de la préparation

Le 17/10/2001, deux semaines après la clôture des JM, une journée nationale a été consacrée à l’étude de la stratégie future de la préparation de l’élite. Un grand nombre de mesures est aujourd’hui en application, notamment la catégorisation des sportifs d’élite ainsi que leurs indemnités et primes, la révision de la liste des sports ciblés, l’institution des contrats à objectifs avec les sportifs et contrats-programmes avec les FN; enfin on a étoffé les directions techniques des fédérations nationales avec la nomination de conseilleurs techniques chargés de la promotion et formation des cadres.

Les derniers mois de l’année 2002 ont été consacrés à la consolidation de l’aspect scientifique du suivi de la préparation de l’élite nationale.

Un plan en 10 points

1) Le sport à l’école : mener une enquête pour en savoir plus sur la pratique du sport à l’école surtout après le cri d’alarme lancé par la conférence de l’Unesco et du sommet mondial sur l’éducation physique concernant la sérieuse dégradation de la qualité et la diminution du temps alloué à l’éducation physique et aux activités sportives des enfants et des jeunes à l’école à travers le monde.

2) Le lycée sportif : améliorer les conditions lamentables de restauration et de récupération de la jeune élite sportive dont les conditions sont loin de valoir celles du Centre national d’hébergement de l’élite confirmée.

3) Le rythme scolaire :

Notre système éducatif est difficilement combiné avec le sport d’élite, dommage que l’an dernier le monde du sport n’ait pas été impliqué dans la consultation nationale portant sur la révision de l’horaire scolaire, tenue par le ministère de l’Education et de la Formation. Il est à remarquer que cette consultation a concerné également l’étude de régime trimestriel ou semestriel des études, le rythme des vacances scolaires, la répartition des cours sur 5 ou 6 jours.

Aujourd’hui, c’est au monde du sport de lancer une consultation sur le rythme scolaire.

4) La CNSE :

Renforcer le rôle de la commission nationale de suivi de l’élite afin qu’elle joue pleinement son rôle, à savoir reconnaître le caractère de haut niveau des disciplines sportives, déterminer pour chaque discipline les critères permettant de définir la qualité du sportif d’élite, émettre un avis sur la validation des compétitions internationales et arrêter les critères de sélection des sportifs aux Jeux olympiques.

5) Mécanisme de coordination :

La place de choix dont bénéficie la Tunisie dans les instances internationales et notamment à l’Union arabe des sports et au Conseil supérieur du sport en Afrique devrait lui permettre de jouer un rôle important pour rapprocher les points de vue des décideurs sportifs arabes et africains et créer un mécanisme de coordination afin de parvenir à cette cohérence tant souhaitée dans la programmation des principales échéances arabes et africains omnisports que constituent les Jeux panarabes et les Jeux africains.

Aujourd’hui, on ne peut pas exiger de notre élite sportive de briller dans deux échéances espacées de trois semaines avec en plus une série de championnats du monde programmés avant les Jeux panarabes et une autre après les Jeux africains.

6) ISSEP :

Il est plus que temps de réviser le contenu de la formation débouchant sur le professionnalisme du sport qui n’est pas adapté à la fonction d’entraîneur.

7) Athlètes d’élite :

Créer une commission d’athlètes tunisiens qui sera la plus indiquée à réfléchir sur leur avenir et assurance dans la vie professionnelle. Que deviennent les sportifs d’élite ayant cessé leur carrière internationale après avoir figuré durant plusieurs années sur les listes des sportifs d’élite ? A-t-on songé à leur reconversion?

8 ) Entraîneurs nationaux :

Aujourd’hui, rares sont les athlètes d’élite qui ont été encadrés par des techniciens tunisiens. Devant cette situation, il est impératif d’échelonner la carrière de l’entraîneur sur des niveaux auxquels correspondent différents degrés de connaissances en tenant compte de la formation continue et de la spécialisation, tout en instituant un programme national de certification des entraîneurs (PNCE) qui visera à rehausser l’efficacité de l’entraînement.

9) Contrats-programmes et à objectifs :

Officialiser publiquement les contrats-programmes et à objectifs et assurer le suivi de leur réalisation.

10) La direction technique :

Qu’est ce qu’un DTN aujourd’hui? C’est un expert du sport et de l’organisation sportive, un expert de sa discipline. Se sont ajoutées les charges administratives de formation, de gestion et parfois de marketing et même pour certains de médiatisation. Ils ont plusieurs casquettes alors que leur rôle primordial devant être la vulgarisation et la promotion de leur sport, en plus ils doivent être garants du projet sportif de leur fédération, c’est-à-dire établir un calendrier de compétitions, donc peser sur la préparation des événements, insister sur la récupération et donner des orientations claires. Avec de telles attributions, il serait difficile de leur confier le suivi de leur élite. Il faut également être attentif à leur recrutement car un DTN devrait rester en poste au moins une olympiade, l’idéal c’est deux.

Aujourd’hui, la tutelle offre aux DTN des aides que leurs prédécesseurs n’avaient pas. Les problèmes de taille qui préoccupent les DTN demeurent ceux liés à la reconversion et à la formation continue au moyen de stages bien ciblés car tous n’ont pas la même demande pour trouver des réponses à leurs préoccupations. Les DTN devraient s’unir pour créer leur association qui se penchera sur leur devenir.

Chaker BELHADJ
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Messagepar VIRAGISTE » Dim 09 Mar 2003, 13:41

Football

Colloque national sur le financement du sport

Des pistes à défricher


En marge de la concertation nationale sur le sport de demain, décidée par le Président de la République Zine El Abidine Ben Ali, dont le rapport final sera fin prêt dans quelques jours et qui a vu pas moins de dix commissions nationales en plus des commissions régionales plancher sur le sujet, le ministère des Sports a organisé le vendredi 7 mars un colloque national sur le financement du sport sous la présidence de M. Abderrahim Zouari, ministre des Sports. En plus de Monsieur le ministre et du secrétaire d’Etat auprès du ministre des Finances, M. Mounir Jaïdane, un parterre de qualité et très nombreux a pris part aux travaux de ce rendez-vous qui ont duré toute une journée avec notamment la présence de présidents et de vice-présidents de club, des présidents de fédération, de présidents de municipalité, des responsables régionaux du sport, des sportifs et des journalistes sportifs. Tous ceux qui avaient un lien avec le sport ont été conviés à prendre part à ce colloque. Et comme le sujet constituait le nerf de la guerre, les interventions, que ce soit au niveau de la séance plénière qu’à celui des commissions, ont toutes essayé de baliser le chemin à suivre en matière de financement du sport.

Ainsi, si la nécessité de se doter d’un système comptable adapté aux associations sportives et aux fédérations a été apprécié à sa juste valeur, les présents n’ont pas moins insisté sur la flexibilité, élément jugé fondamental en matière de gestion. Les présents ont par ailleurs souligné l’importance de la gestion rationnelle des ressources afin d’optimiser l’allocation existante, tout comme ils ont insisté sur le nécessaire développement des ressources des associations sportives qui butent, pour la plupart d’entre elles, sur de réelles problèmes de financement. Plusieurs pistes ont d’ailleurs été proposés à ce niveau, notamment celles de permettre aux clubs d’organiser des activités lucratives, le développement du marchandising, le sponsoring, la nécessaire évolution du Promosport et la mise sur orbite d’un partenariat sur les droits de TV.

Par ailleurs, l’idée de développer un produit touristique d’un genre nouveau, le tourisme sportif a été soulevé, et ce, à l’instar de certains pays du sud de la Méditerranée.

L’ensemble de ces points et bien d’autres ont été repris dans le rapport final du colloque qui fera partie du rapport global de la concertation nationale.

H.B.H.
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FEDERATION TUNISIENNE DE FOOTBALL : ACTUALITES & INFOS

Messagepar VIRAGISTE » Dim 16 Mar 2003, 13:14

Football

Championnat 2003-2004, Coup d’envoi le 17 août

Un mois de trêve avant la CAN 2004


C’est pratiquement acquis, le coup d’envoi du championnat de football 2003-2004 aura lieu le 17 août, et ce, en fonction de la préparation de l’équipe de Tunisie pour la coupe d’Afrique des nations 2004…

En effet, la compétition nationale se déroulera en deux phases, la première allant du 17 août au 25 décembre 2003. Un mois de trêve sera donc dégagé avant la CAN pour la préparation de l’équipe de Tunisie.

Le projet du calendrier du championnat 2003-2004 a été l’un des sujets débattus lors de la réunion organisée en début de semaine sous la houlette du DTN et Lemerre, en présence de 6 entraîneurs de la Nationale A et des entraîneurs de la Nationale B.

Lors de cette journée d’information, le DTN a exposé les orientations techniques à court, moyen et long terme. De son côté, Roger Lemerre a donné l’esquisse du programme de préparation de l’équipe nationale pour le grand rendez-vous continental de 2004.

Plusieurs sujets ont été débattus dont notamment : les moyens susceptibles de faire face au fléau des limogeages.

La statut de l’entraîneur, la coupe de la Ligue, l’état des terrains, le respect du calendrier, le nocturne, ainsi que d’autres points ont été soulevés lors de ce débat fructueux qui a débouché sur une série de propositions et recommandations qui seront soumises au bureau fédéral :

- L’analyse du calendrier 2003/2004

- Le respect des compétitions et la participation de tous les clubs aux compétitions suivantes :

• championnat

• coupe de Tunisie

• coupe de la Ligue

— La qualité et la quantité du nombre des terrains mis à la disposition des éducateurs

— Le bien-fondé de la rénovation des terrains retenus à la CAN 2004 en souhaitant l’installation d’équipements nocturnes dans les terrains de Bizerte et Monastir

— La réalisation, l’approbation et l’application du statut des entraîneurs

— La mise en application du cahier des charges du championnat non amateur.
Modifié en dernier par VIRAGISTE le Lun 23 Juin 2003, 18:22, modifié 5 fois.
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Messagepar VIRAGISTE » Dim 16 Mar 2003, 13:17

Football

Equipe Nationale

Le maillon manquant…

La FTF doit assumer ses responsabilités…


La FTF tarde à régler la question de l’entraîneur adjoint de l’équipe nationale. Elle s’accommode de l’ordre établi depuis que Youssef Zouaoui s’est impliqué dans les affaires.

DTN- sélectionneur intérimaire, donc agent de transition au moment où la FTF négociait avec Lemerre, puis collaborateur direct, à la tête de la sélection, du nouveau sélectionneur, Zouaoui s’est pris au jeu, croyant légitimement partager, avec son collègue… d’autant que le successeur de Souayah n’a pas tari d’éloges sur la contribution du DTN lors de sa prise de fonction.

Vacance du poste oblige, Zouaoui s’est donc trouvé dans la peau d’un responsable de fait, avant de devenir, dans le même contexte, le «second» indispensable.

Cette situation anachronique n’a pas dérangé les fédéraux qui, faut-il le souligner, ne se sont pas entendus par ailleurs sur la nécessité de nommer un entraîneur adjoint pour l’équipe nationale. Ils ont accepté l’ordre établi, croyant que les affaires marcheront sans problème avec le couple Lemerre-Zouaoui.

Question de principe

Au-delà des considérations de tout ordre, des interférences qui ont toujours sévi quant à la gestion de la sélection, la nomination d’un entraîneur adjoint est strictement une question de principe. C’est l’affaire de la FTF qui doit assumer ses responsabilités, pour gommer un état de fait dénué de toute justification logique et réglementaire. Youssef Zouaoui est bien là où il est (à la direction technique), il ne peut donc porter la double casquette de DTN et de second du sélectionneur. L’amalgame est inacceptable.

L’équipe nationale est une structure qui doit fonctionner normalement dans la transparence avec une répartition des tâches nette et claires.

Or, il manque le maillon nécessaire, c’est-à-dire le vrai collaborateur du premier responsable technique. C’est indispensable pour mieux gérer à moyen et à long terme, dans la mesure où l’entraîneur adjoint — qui est en définitive un technicien à part entière — représente un gage de continuité au cas où…

Demain, le président de la FTF ne manquera pas de faire le point sur la question et pourquoi pas annoncer le nom du collaborateur de l’entraîneur national.

H.M.
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Messagepar VIRAGISTE » Lun 17 Mar 2003, 20:29

Tunis-Hebdo a écrit:Stop

Des propositions, oui !
Mais des actions, surtout !


Nous sommes très heureux que le débat sur le football tunisien soit ouvert.

Que la consultation nationale ordonnée par le sommet de l’Etat ne soit pas marquée par la langue de bois.

Que les vrais problèmes —quotidiens, impérieux, insolubles— soient mis sur la table. Il n’en demeure pas moins que l’essentiel réside, non seulement dans les propositions, mais dans les actions.

Et quand on voit ce qui se passe réellement dans certains clubs (ESZ, CSS, OB etc), on se dit qu’il faut vraiment une baguette magique pour sauver nos clubs d’une situation quasidramatique.

*******

Les discours des officiels, entendus récemment, sont empreints d’une note optimiste : ils sont, cette fois, réalistes.

Certes, de bonnes actions sont entreprises, mais la réalité demeure triste.

Mais plus que des textes à améliorer, instaurer ou changer, ce sont les mentalités —dépassées— qu’il faudra déloger.

On ne gère pas un club comme une affaire privée, avec cette différence —énorme— que l’enjeu se chiffre par millions et que le gestionnaire est un... bénévole!

*******

Puis jusqu’à quand nos clubs vont-ils demeurer assistés, vivant de ce que les pouvoirs publics leur donnent comme argent, et recourant le plus souvent à la.. mendicité déclarée ou voilée? On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, dit-on.

Dès lors pour que notre football vive, pour que la transparence règne, pour que les dégâts s’arrêtent, il ne faut pas penser aux sentiments en adoptant des demi-mesures qui ne feront pas prolonger le calvaire.

Ayons le courage de ne pas être, pour une fois, sages !

Fathi EL MOULDI
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Messagepar VIRAGISTE » Mar 18 Mar 2003, 11:59

Football

Tournoi des quatre nations

Demi-finales : Tunisie-Ghana et Cameroun-Madagascar

• Maâloul attaché à la DTN

• Poste de sélectionneur adjoint périmé


Le point de presse donné par MM. Hamouda Ben Ammar, président de la FTF, et Roger Lemerre, sélectionneur national, a duré une heure trente minutes. Autant M.Ben Ammar était calme, serein et expressif, autant le Français l’était beaucoup moins. Le sélectionneur national n’a pas mâché ses mots face aux interrogations qui ne lui ont pas plu au sujet de la liste convoquée en équipe nationale en vue du «Tournoi international des 4 nations» (Stade de Radès, du 27 au 30 mars 2003), mais aussi sur la qualité attribuée à Nabil Maâloul, recruté par la FTF, dit-on, comme attaché à la direction technique et à la disposition de la sélection ! Il ne sera pas, si nous avons bien compris ce qui a été dit par le technicien français, son adjoint, une fonction «périmée et dépassée», selon Lemerre. Fin du feuilleton Nabil Maâloul. Equipe nationale ? En tout cas, l’ex-international au palmarès riche rejoint le staff de la DTN et de la sélection. Une approche choisie depuis l’avénement de Lemerre et du nouveau bureau fédéral. «Nous avons choisi de travailler collégialement avec un staff technique élargi. Les techniciens de la DTN sont à la disposition de la sélection. Le sélectionneur nationale a besoin vraiment du concours de tout le staff technique pour réussir dans sa mission», a affirmé M. Ben Ammar. Quant au choix de Maâloul, il est motivé par «sa connaissance approfondie du foot tunisien en tant que joueur international de qualité», selon M. Lemerre. Malgré un bon nombre de candidatures, la FTF, en concertation avec la DTN et Roger Lemerre, a opté pour Maâloul.

Une liste revue !

Passons désormais au tournoi amical des 4 nations, qui sera un rendez-vous périodique qui permettrait à l’équipe nationale de rencontrer des sélections africaines, sachant qu’il faut se mesurer souvent à des sélections du continent pour se qualifier en Coupe du monde ou en Coupe d’Afrique des nations.

Ce tournoi va durer 3 jours du 27 au 30 mars.

L’équipe tunisienne affrontera le Ghana en demi-finale, alors que le Cameroun jouera face à Madagascar. C’est le stade de Radès qui abritera ce tournoi, ce qui devra assurer le spectacle. Les prix d’entrée ont été étudiés (5, 10 et 15 dinars) avec le transport assuré. De quoi attirer un bon nombre de spectateurs. Roger Lemerre place ce tournoi dans son contexte : «Ce tournoi est important pour nous. Maintenant, nous allons jouer face au foot-ball africain et contre des sélections que nous risquons fort de côtoyer lors de la CAN 2004. Maintenant, j’ai une vision et une idée très claire sur la progression des internationaux et de l’équipe nationale en général. J’ai convoqué les joueurs les plus compétitifs en championnat de Tunisie et à l’étranger».

Les piliers de l’équipe seront là lors de ce tournoi, à savoir Boumnijel, Hatem Trabelsi, Badra, Nafti, Jaziri et Ben Achour. Côté nouveautés, on parle de l’arrivée des Clubistes Bouzaïène et Ben Khaled. Pour le second, Lemerre estime qu’il a de bonnes qualités d’attaquant. Adel Nefzi, gardien de l’OB, débarque lui aussi en sélection à l’instar de l’arrière droit Damoussi (USM).

On remarque aussi que Adel Chedly, le Tunisien exerçant à Sochaux (L 1), fera son retour à la sélection. D’après le président de la FTF, le problème administratif (double nationalité) de Chedly serait dénoué très prochainement. Toujours dans la lecture de la liste,le coach national fait de nouveau confiance à Jédidi et à Missaoui, tous deux purs produits du championnat. 13 joueurs locaux pour 10 pros, la liste est équilibrée, mais revue par rapport à l’ancienne. Rafik EL HERGUEM

Les joueurs convoqués:

• Gardiens de but :

Mohamed Zouabi (ESZ), Adel Nefzi (OB), Ali Boumnijel (Bastia).

• Défenseurs :

Hatem Trabelsi (Ajax), Radhi Jaïdi, José Clayton (EST), Radhouane Bouzayane (CA), Anis Ayari (ST), Zied Damoussi (USM), Khaled Badra (Al Ahly Jeddah), Alaeddine Yahia (Guingamp).

• Milieux et attaquants :

Jawhar M’nari, Mourad Melki (EST), Zied Jaziri (ESS), Hichem Ben Khaled (CA), Nabil Missaoui (OB), Mohamed Jédidi (USM), Mehdi Nafti (Santander), Adel Chedly (Sochaux), Kaïs Ghodhbane (Béniyes), Slim Ben Achour (Troyes), Riadh Bouazizi (Gazi Antepspor), Imed Mhadhebi (Genoa).
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Messagepar VIRAGISTE » Mer 09 Avr 2003, 12:34

Football

Réunion FTF-présidents de club

• Trois types de contrat des joueurs

• Un championnat à 14 clubs

• Une commission fédérale de contrôle de gestion


Le bureau exécutif de la FTF a convié les présidents des clubs des divisions nationales A et B afin de discuter du projet de quelques amendements qui seront proposés au prochain conseil fédéral.

Il s’agit en somme des grandes lignes de trois chapitres dont le bureau fédéral a voulu connaître les avis des clubs avant de les soumettre dans les détails à la décision du conseil fédéral.

I - Le statut du joueur

Tous les joueurs appartenant aux divisions nationales A et B seront obligatoirement liés à leur club par un contrat de non-amateur.

Il y aura désormais trois types de contrat :

— Joueur stagiaire (âgé de 18 à 21 ans)

— Joueur semi-professionnel réservé au joueur étudiant ou qui a un autre emploi

— Joueur professionnel.


Le projet comporte également une proposition qui a trait aux rémunérations des joueurs. Il comporte l’interdiction de payer une prime de signature et la remplacer par une prime de rendement.

Vu l’importance de cette disposition, il a été décidé de donner un temps de réflexion aux clubs, en leur fournissant de plus amples détails.

Il a été décidé, d’un autre côté, d’annuler la liste dite des qualifiables, qui limitait le nombre de joueurs que doit posséder une équipe.

Au sujet des transferts, il existera deux types de transfert :

— Le transfert libre pour les joueurs en fin de contrat et ceux qui seront libérés par décision de la FTF.

— Le transfert conventionnel en cas de rupture de contrat à l’amiable ou par une convention de transfert signée entre les deux clubs lorsque le joueur est encore sous contrat.

La période du prêt a été fixée en deux fois :

— Du 1er juillet au 31 août

— Du 16 décembre au 15 janvier.


Le club qui reçoit a droit à cinq prêts sans tenir compte de la catégorie et sans limite pour le club donateur...

Durée des contrats :

— Joueur stagiaire : trois saisons maximum (jusqu’à l’âge de 21 ans). Le premier contrat doit être signé obligatoirement avec le club joueur.

— Joueur semi-professionnel et professionnel: minimum : un an, maximum : cinq ans.


II - Nombre de clubs

Le championnat de Tunisie passera de 12 à 14 clubs à partir de la saison 2004/2005 pour les divisions nationales A et B.

Cette formule semble avoir l’approbation de la plupart des présents malgré les réticences de quelques-uns.

Si elle est adoptée, elle ne sera appliquée qu’à partir de la saison 2004/2005.

Donc à la fin de la saison 2003/2004, la proposition prévoit l’équilibrage suivant :

— Rétrogradation : club classé 12e

— Accession : les clubs classés 1er et 2e de la nationale B + le vainqueur d’un tournoi à trois entre le 11e de la Nationale A et les 3e et 4e de la nationale B.

Cette disposition a rencontré le refus des responsables des équipes de la nationale B qui préfèrent éviter le barrage et proposent que les deux derniers de la nationale A rétrogradent et que les quatre premiers de la nationale B rejoignent la nationale A.

Le débat reste donc ouvert pour arriver à la meilleure solution.

La nationale B doit être également ramenée à 14 clubs à partir de la saison 2004/2005.

A la fin de la saison 2003/2004, rétrograde en nationale C : le 12e classé en nationale B.

Accéderont en nationale B, les deux premiers de la nationale C nord et les deux premiers de la nationale C Sud.

III - Commission fédérale de contrôle de gestion

Il sera créé une commission fédérale de contrôle de gestion des clubs.

Elle aura pour mission de contrôler la gestion financière des clubs participants au championnat de football non amateur, l’application des clauses du cahier des charges et la prise des décisions et des sanctions des clubs en situation irrégulière conformément à la réglementation en vigueur.

Plusieurs propositions de sanctions sont énumérées dans le projet, allant des amendes de 500 à 1000 dinars, en passant par la suppression d’un total de trois points au classement jusqu’à la rétrogradation du club défaillant à la division immédiatement inférieure.

L’acceptation de l’engagement d’un club au titre d’une nouvelle saison est conditionnée par le paiement de toutes ses dettes antérieures vis-à-vis de la FTF.

Tout club dont la situation financière n’est pas en règle vis-à-vis de la FTF se voit automatiquement refuser toute demande de qualification de nouveaux joueurs tunisiens ou étrangers.

Ce sont là donc quelques aspects des problèmes qu’aura à résoudre le prochain conseil fédéral à côté des nombreuses modifications qui seront portées aux textes des règlements généraux, sportifs et financiers.

A.B.
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Messagepar VIRAGISTE » Lun 14 Avr 2003, 16:51

Tunis-Hebdo a écrit:Stop

Impopulaires, mais salutaires!!!


L’idée même de créer une Commission fédérale de contrôle de gestion des clubs est fort louable; elle est, aussi, une nécessité, sinon une urgence, qui a un peu tardé à germer dans les esprits, faute d’une prise de conscience de la gravité de la situation financière de nos clubs.

La présence de M.Mahmoud Hammami, trésorier de la FTF et spécialiste de la gestion des finances, n’est certainement pas étrangère à cette remise en cause —ou prise de conscience— de cet état de fait chaotique.

Il était temps, en effet, de se mettre au diapason de ce qui se fait de mieux et de sérieux dans les championnats qui se respectent en instaurant un minimum de contrôle pour éviter les dérapages et les dérives que de nombreux clubs vivent aujourd’hui comme un drame quotidien.

Amendes, interdictions de recrutement, suppression de points au classement, et même rétrogradation seront, désormais, «au menu» des clubs mal gérés.

Fini le temps de la gestion archaïque, des dépenses démesurées, des endettements accumulés, des recrutements insensés; tout doit, désormais, être justifié, prouvé, avalisé, vérifié, et toujours dans la transparence la plus totale.

Et ce projet doit être mis sur pied, peaufiné, réglementé dans les détails, dans les meilleurs délais, pour le prochain Conseil fédéral.

Notre football a trop longtemps souffert —dans tous les domaines— de la politique de l’autruche, du verre à moitié plein, du «tout va bien».

Notre football n’est pas seulement, n’est pas du tout, l’Equipe Nationale qui se qualifie à la CAN ou au Mondial ou 2 ou 3 grands clubs; il y a le football «d’en haut» (l’exception) et le football «d’en bas» (la règle), ce football qui vivote, ce football qui organise.

Nous osons espérer que lors du prochain Conseilfédéral, on n’aura pas peur de ce changement, de la transparence, qu’on pensera «national» plutôt que «régional», que les intérêts supérieurs de notre sport-roi soient mis en avant.Car si l’on choisit le statuquo, si l’on refuse le jeu de la vérité et de la charte, la situation —déjà catastrophique aujourd’hui— ne fera qu’empirer demain.

De telles mesures peuvent, certes, paraître impopulaires, mais elles sont les seules qui paraissent salutaires...

Fathi EL MOULDI
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Messagepar VIRAGISTE » Ven 18 Avr 2003, 11:15

Football

Tunisie-Sénégal le 30 avril à Radès, Coup d’envoi : 19h15

Match amical Tunisie-Sénégal

Le match amical international Tunisie-Sénégal entrant dans le cadre de la préparation à la CAN 2004 et prévu mercredi 30 avril aura lieu en nocturne, probablement à 19h15 au stade 7-Novembre de Radès.

La rencontre sera dirigée par un trio arbitral algérien.

Sur un autre plan, l’équipe nationale effectuera un stage de préparation pendant la trêve estivale durant la période allant du 24 juin au 13 juillet 2003.

Libye olympique - Tunisie olympique
La sélection nationale olympique se déplacera à Tripoli pour disputer un match amical face à son homologue libyenne, le 30 avril, dans le cadre de sa préparation aux éliminatoires des JO d’Athènes 2004.

Tournoi international de Marseille

La sélection nationale des -19 ans prendra part au 27e tournoi international de football de Marseille qui aura lieu du 19 au 21 avril.

L’équipe nationale évoluera dans le groupe B aux côtés des équipes ADO La Haye (Pays-Bas), Olympique de Marseille (France) et Napoli Calcio (Italie). Le groupe A est formé de Esports Club De Bahia (Brésil), USEndoume Catalans (France), HNK Rijeka (Croatie) et la sélection nationale du Togo.

La sélection tunisienne disputera son premier match, ce samedi à 17h15, face au club Napoli Calcio. Elle donnera ensuite la réplique, dimanche 20 avril, à l’équipe ADO La Haye (8h00) puis à l’Olympique de Marseille, l’après-midi de la même journée (15h15). Au programme de la journée de clôture, lundi 21 avril, les matches de classement de la 5e à la 8e place, le match de classement pour la 3e place en début d’après-midi et la finale à 15h00.

Les -18 ans au tournoi du Japon

La FTF a répondu favorablement à une invitation à un tournoi des -18 ans qui aura lieu au Japon du 9 au 12 août prochain.

Coupe de Tunisie

Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de Tunisie, seniors et -21 ans, aura lieu dimanche 20 avril au cours de l’émission «Dimanche Sport».

Conseil fédéral — Réunion

Une deuxième réunion groupera le Bureau fédéral avec les présidents des clubs de la Nationale A et B, le 28 avril, pour arrêter les propositions finales à soumettre au Conseil fédéral dont la tenue est prévue le 23 mai.
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