Je trouve que c'est un énorme article malgré que je ne suis pas d'accord sur quelques points
GENIALISSIME: La révolution en 58 films!
« Il était une fois dans l’ouest » de la Tunisie, un « Braveheart » dénommé Mohamed Bouazizi, un marchand ambulant et « Diplômé » de Sidi Bouzid, vivant « La grande illusion » , dans « L’ombre de la Terre » et souffrant tout genre d’ « Arnaques, crimes et botanique » . Le 17 décembre 2011, il décide de relever « Le Défi » et de bousculer le destin de son peuple en faisant sa « Danse avec le feu » .
Son combat, qui avait au départ l’allure d’une « Mission impossible » , allait faire tache d’huile et provoquer des « Incendies » dans ce « Pays de Tararani » , décidé à entamer « La saison des hommes » et se révolter contre « La main de fer » de « Sultan El Medina» , ses « Douze salopards » de Conseillers et « Les pirates du Caraïbes » des Trabelsia.
Ainsi, le 14 janvier 2011, fut « Une journée en enfer » pour les «Deux larrons en folie » Zaba et Leila. En effet, et « D’une seule voix » , tous les tunisiens, « Le bon, la brute et le truand » , ensemble, ont pris « L’Assaut » du Ministère de l’Intérieur, symbole de la répression et « La baie de la honte » , en scandant, haut et fort « Le chant du millénaire » : « Dégage ».
Ces « Paroles d’Hommes » n’ont pu être bâillonnées, ni par « Les tontons flingueurs » de Seriati, ni par les « Lords of War » . Les dés sont jetés, les « Affranchis » tunisiens ont définitivement choisi « Les sentiers de la gloire » . Ce peuple qualifié de « Horde Sauvage » , a fait preuve d’une hardiesse digne de « Gladiateurs » .
Le « Maudit » de Carthage a perdu « La dernière bataille » . Il a choisi « La Grande évasion » dans « Un voyage au bout de l’enfer » . En agissant de la sorte, « Le Roi Lion » s’est avéré un petit « Asfour Stah » . Quelle « Dawaha » !
Malheureusement, à peine « Neuf semaines et demie » passées, « La ruée vers l’or » bat son plein. « Les enchaînés » et « Les dents de la mer » s’empressent à se départager le butin d’une révolution qui n’avait pourtant pas de « Parrain » .
Comble du paradoxe, les deux extrêmes se croisent, d’une part, « Le Limier » des idéologies désuètes des « Camarades » , et d’autre part, le chantre de « La cité du Dieu » et du « Flash back » de l’histoire. « Les Diaboliques » ont désormais des objectifs communs : « La Soif du Mal » et « L’ivresse du pouvoir » .
Echantillon de la médiocrité des temps, beaucoup d’autres qui ont jadis « Dansé avec les loups » et pactisé avec « Le dernier Empereur » de Carthage, grimpent aujourd’hui aux rideaux, tel un « Spiderman » pour empocher les dividendes. Ils s’apparentent à des « cow-boys » affublés de pistolets de pacotille.
Face à ces « Jeux Dangereux » , la Tunisie a finalement trouvé « Refuge » en M. Béji Caid Essebssi, « Dernier Samouraï » de la génération de Bourguiba qui a, d’emblée, réussi à chasser « L’ombre du doute » et à sortir le pays de « L’impasse » .
Ceci dit, « En ces temps modernes » , la majorité des tunisiens doit rompre « Le silence des agneaux » et cesser de jouer au « Don Quichotte » désabusé se battant contre des moulins à vent.